Traces de culture populaire, ces lambeaux d’affiches, tout un programme. La musique locale, Ziskakan, la variété qui vient de métropole, sauf Johnny, qui a eu peur de la grippe, et puis la culture reggae, très vivante – dreads, couleurs jamaïcaines, zamal – et surtout Bob. Lui, il est partout, sur les affiches, sur les tee-shirts, il a même son portrait, période Kaya, mais traité à la façon Mount Rushmore, imposant, sur la falaise d’une ravine, dans les hauts de Saint-Leu..